Qu’est-ce qui vous a donné l’envie d’écrire des livres ?
C.L. : L’envie de raconter des histoires. Enfant, je voulais faire de la BD. Plus tard, adolescent, je voulais être réalisateur. J’ai fini romancier. Le point commun entre toutes ces activités : l’amour des histoires, de l’imaginaire.
Comment-vous documentez-vous pour vos histoires ?
C.L. : Surtout en bibliothèque. Un peu sur Internet, mais il faut se méfier ; on y trouve tout et n’importe quoi (et l’orthographe des noms propres y est souvent hasardeuse).
N’est-ce pas gênant de rester chez soi pour travailler ?
C.L. : C’est sûr qu’il faut avoir un tempérament d’ermite, sinon on risque vite de déprimer. J’aime bien être mon propre « patron » : fixer moi-même mes horaires de travail, mon rythme… Et je ne me laisse pas trop distraire par la télé, le téléphone, etc. donc, ça va
A quel âge avez-vous commencé à écrire ?
C.L. : Dès que j’ai su tenir un stylo. (Je me rappelle que je faisais déjà plein de petites bandes-dessinées en CP !)
Est-ce que votre salaire dépend des ventes ?
C.L. : Je touche d’abord ce qu’on appelle une avance (une somme fixe qui va de 2000 à 6500 Euros) puis, si le livre se vend bien, je commence à toucher un pourcentage direct sur les ventes (entre 5 et 8% du prix public, en moyenne).
Quelles études avez-vous suivies et où ?
C.L. : Bac B (économie) puis une école d’audio-visuel, à Paris, qui s’appelle l’ESRA.
Combien avez-vous écrit de livres ?
C.L. : 35 ? 40 ? Heu, j’avoue que j’ai perdu le fil (je compte là-dedans les recueils où je n’ai écrit qu’une nouvelle)…
Pourquoi avez-vous choisi la Science-fiction ?
C.L. : Parce que cela permet de parler des problèmes actuels d’une manière originale, décalée. Et puis je suis tombé dans la marmite STAR WARS quand j’avais votre âge
Faites-vous de la publicité ?
C.L. : Il y a un C. Lambert qui dirige une agence de pub mais ce n’est pas moi. Quant à la publicité des livres, c’est l’éditeur qui s’en charge mais comme ils n’ont jamais de budget pour ça…
Y a-t-il beaucoup de critiques sur vos livres ?
C.L. : Sur Internet, beaucoup. Dans la presse écrite aussi, de temps en temps. A la télé, c’est très rare. La littérature jeunesse et la science-fiction n’intéressent pas les diffuseurs, on dirait
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